La pratique de la respiration fait partie de la 4ème branche du yoga. Appelé "pranayama", c'est un travail sur le souffle et l'allongement du souffle, c'est l'arrêt des perturbations de la respiration, nous dit Patanjali.
Mais avant de se lancer dans des pratiques poussées de pranayama, il est
important de prendre conscience de la respiration. L'expiration, l'inspiration et la suspension. Si on se centre sur l'écoute de la respiration, celle-ci retrouve son rythme naturel, s'allonge.
Se laisser respirer, et la respiration s'allonge d'elle-même.
Plusieurs fois par jour, prenez l'habitude d'observer votre respiration sans la modifier. Observez son rythme, le lieu où elle se place dans votre corps, son amplitude. C'est un long chemine celui d'arriver à observer une respiration indépendante de sa volonté.
En inspirant, soyez conscient que vous inspirez. En expirant, sachez que vous expirez.
Savourez votre respiration
Quand vous vous asseyez, la première chose à faire est de prendre conscience de votre respiration. Prendre conscience de sa respiration est la première étape de l'attention à soi. En prenant conscience de votre inspiration et de votre expiration, vous pouvez observez comment votre souffle se déplace dans votre corps. Vous commencez à prendre soin de votre corps et de votre esprit, et à trouver la joie dans le simple fait de respirer. Chaque inspiration peut apporter de la joie; chaque expiration peut apporter calme et détente.C'est une raison suffisante pour s'asseoir.
réf: vivre en pleine conscience, s'asseoir, Thich Nhat Hang
En observant sa respiration, prenez une attitude d'observateur, de témoin.Une notion importante en yoga. Un point capital, nous dit Roger Clerc
Dans la position de votre choix, allongé au sol ou en posture assise, dos droit, détendre le corps et le mental par l'écoute du son de la respiration. Conscient d'être situé dans la tête, où se trouve l'organe de commande, continuer à écouter ce son, mais en tant que témoin objectif. Au-début, ce n'est pas facile car on s'aperçoit que dès qu'on pense à la respiration on en modifie le rythme.
Il faut par l'entraînement obtenir l'état de témoin. C'est un point capital. Si on passe outre, il est très difficile de l'obtenir ensuite.
Entraînez-vous. Je ne suis pas le corps, je ne suis pas le souffle....qui suis-je ? Je suis au centre de l'esprit, dans la tête, ce témoin qui voit le corps, qui écoute le souffle....objectivement, sans penser, sans juger, détaché de ces éléments.
Réf: un chemin pur l'ère nouvelle, Roger Clerc
Dans un premier temps, on peut être témoin de sa respiration naturelle, sans la modifier. L'observateur aide à aller vers le silence mental. Développer le témoin, être capable d'observer. C'est une partie de la conscience qui est toujours là, qui observe sans jugement le ressenti positif ou négatif.
Le yoga, un chemin de conscience, une présence et attention, une ouverture à la joie, se relier à cette énergie de vie en soi
Mais avant de se lancer dans des pratiques poussées de pranayama, il est
important de prendre conscience de la respiration. L'expiration, l'inspiration et la suspension. Si on se centre sur l'écoute de la respiration, celle-ci retrouve son rythme naturel, s'allonge.
Se laisser respirer, et la respiration s'allonge d'elle-même.
Plusieurs fois par jour, prenez l'habitude d'observer votre respiration sans la modifier. Observez son rythme, le lieu où elle se place dans votre corps, son amplitude. C'est un long chemine celui d'arriver à observer une respiration indépendante de sa volonté.
En inspirant, soyez conscient que vous inspirez. En expirant, sachez que vous expirez.
Savourez votre respiration
Quand vous vous asseyez, la première chose à faire est de prendre conscience de votre respiration. Prendre conscience de sa respiration est la première étape de l'attention à soi. En prenant conscience de votre inspiration et de votre expiration, vous pouvez observez comment votre souffle se déplace dans votre corps. Vous commencez à prendre soin de votre corps et de votre esprit, et à trouver la joie dans le simple fait de respirer. Chaque inspiration peut apporter de la joie; chaque expiration peut apporter calme et détente.C'est une raison suffisante pour s'asseoir.
réf: vivre en pleine conscience, s'asseoir, Thich Nhat Hang
En observant sa respiration, prenez une attitude d'observateur, de témoin.Une notion importante en yoga. Un point capital, nous dit Roger Clerc
Dans la position de votre choix, allongé au sol ou en posture assise, dos droit, détendre le corps et le mental par l'écoute du son de la respiration. Conscient d'être situé dans la tête, où se trouve l'organe de commande, continuer à écouter ce son, mais en tant que témoin objectif. Au-début, ce n'est pas facile car on s'aperçoit que dès qu'on pense à la respiration on en modifie le rythme.
Il faut par l'entraînement obtenir l'état de témoin. C'est un point capital. Si on passe outre, il est très difficile de l'obtenir ensuite.
Entraînez-vous. Je ne suis pas le corps, je ne suis pas le souffle....qui suis-je ? Je suis au centre de l'esprit, dans la tête, ce témoin qui voit le corps, qui écoute le souffle....objectivement, sans penser, sans juger, détaché de ces éléments.
Réf: un chemin pur l'ère nouvelle, Roger Clerc
Dans un premier temps, on peut être témoin de sa respiration naturelle, sans la modifier. L'observateur aide à aller vers le silence mental. Développer le témoin, être capable d'observer. C'est une partie de la conscience qui est toujours là, qui observe sans jugement le ressenti positif ou négatif.
Le yoga, un chemin de conscience, une présence et attention, une ouverture à la joie, se relier à cette énergie de vie en soi