Energie d’hiver, élément «eau»
Une descente vers la profondeur dans son intimité
L’hiver, tout se passe dans la profondeur. Tout se recentre vers notre énergie vitale essentielle. Pour les plantes ( grand corps ), il y a repos extérieur de la nature, tout semble immobile et mort, alors qu’il y a un travail intense à l’intérieur.
Si l’élément Eau est associé à l’hiver, c’est qu’une certaine similitude les rapproche. La puissance de l’eau s’apparente à la force vitale qui travaille au sein de la graine ; peut-on s’imaginer la force de vie cachée sous le sol gelé de janvier ? Ces milliards de turbines invisibles, qui attendent l’énergie yang du printemps pour exprimer la vie par tous les pores de la terre ? La mort n’est qu’apparence.
L’hiver marque la fin du cycle annuel. La terre est épuisée, il lui faut maintenant du repos. La tradition nous dit : «Le Ciel et la Terre ne communiquent plus.». La terre est livrée à elle-même et ses énergies travaillent en profondeur. Toute la nature s’endort à la surface du sol ; les manifestations de vie, à l’extérieur, sont réduites au minimum. L’hiver exprime la manifestation du yin maximum, caractérisé par les phénomènes d’intériorité et d’involution. La vie ne concerne plus l’extérieur mais l’intérieur. Il est donc temps de nous reposer, de restaurer nos forces.
Réf les cinq saisons de l’énergie, Isabelle Laading
Ne résistons pas aux mouvements naturels qui régissent le cosmos
L’hiver est silence, introversion, lenteur, immobilité apparente.
Il est temps d’entrer à l’intérieur de soi. Prendre le temps, se permettre l’inactivité. C’est une orientation délibérée vers le repos, les rythmes lents.
La saison hivernale nous invite au silence. La nature s’endort, la neige étouffe les sons, les oiseaux se taisent. Vient le temps du murmure, des anges qui passent, de l’écoute du silence intérieur.
Energie de la nuit et de la profondeur, accompagné d’un mouvement de l’extérieur vers l’intérieur. C’est un travail intense dans la profondeur.
Energie lunaire, énergie féminine. C’est la période favorable pour prendre conscience de la dimension féminine de notre être. L’énergie féminine en nous, dans son affinité profonde avec la vie, est à redécouvrir en complémentarité avec notre énergie masculine.
C’est l’eau, en lien avec la fonction «Rein-Vessie» et Svaddhistana, centre relié aux Sources de Vie
L’ambiance de l’hiver a le pouvoir de réveiller nos peurs refoulées. C’est le moment de les regarder en face. La peur est une invitation à l’action.
L’ambiance de l’hiver , c’est le passage de la lumière du jour vers la clarté de l’intériorité.
En amenant la lumière de la conscience dans les profondeurs, c’est l’énergie de la conscience qui va éveiller la capacité de choisir clairement d’autres chemins, des voies de réalisation.
«la vérité sourit» nous dit Sri Aurobindo
L’énergie d’hiver c’est :
Présence à soi-même
ralentir le rythme
Intériorisation
Présence aux manifestations de vie intérieure
vivre la fluidité de la vie
cultiver un état d’esprit fluide
retour vers l’essentiel, le coeur des choses
se relier au monde de la vibration sonore
Mot-clé :se relier à l’énergie de vie en soi.
Vivre l’ambiance d’hiver :
Ambiance des paysages
Blancheur et silence de la neige
immobilité apparente
Nuits les plus longues
Dans la nuit, appel à la lumière
Travail intense dans la profondeur
Dans les postures d’hiver, nous allons chercher à privilégier les postures d’équilibres, les fentes, les phrases ( fluidité ), les gestes conscients ralentis, les étirements, les gestes fluides.
Une attention particulière sera donnée au bassin et aux muscles du périnée. L’écoute respiratoire avec Expir profond / Inspir passif.
Le murmure.
C’est l’ « accès à la profondeur », la qualité d’intériorité. l’affinité avec l’eau. C’est Svaddhistana, centre relié aux Sources de Vie.
Favoriser les états de relaxation. La relaxation est un chemin d’intériorité et de profondeur par excellence. Elle demande une pratique, une prise en main personnelle.
Contenir et restaurer nos forces sera le gage d’énergies vives et de créativité au printemps.
Posture de l’enfant
En feuille pliée ( Balasana ), sentir la respiration dans le dos et faire circuler l’énergie avec le MRI ( mouvement du regard intérieur ou respiration de la vague ). Expire, la vague descend de la nuque jusqu’au coccyx et à l’inspire, la vague remonte du coccyx à la nuque. Amener la respiration dans les lombaires, d’abord en y mettant un peu de pression puis uniquement en étant présente dans cette zone.
Ensuite, laisser faire, laisser l’expire s’accomplir.
Posture d’intériorité et en même temps, posture de recharge en énergie. Se mettre à l’écoute, se relier à Svaddhistana, 2ème chakra, centre relié aux Sources de Vie.
Un temps de silence pour se mettre dans l’écoute.
Une descente vers la profondeur dans son intimité
L’hiver, tout se passe dans la profondeur. Tout se recentre vers notre énergie vitale essentielle. Pour les plantes ( grand corps ), il y a repos extérieur de la nature, tout semble immobile et mort, alors qu’il y a un travail intense à l’intérieur.
Si l’élément Eau est associé à l’hiver, c’est qu’une certaine similitude les rapproche. La puissance de l’eau s’apparente à la force vitale qui travaille au sein de la graine ; peut-on s’imaginer la force de vie cachée sous le sol gelé de janvier ? Ces milliards de turbines invisibles, qui attendent l’énergie yang du printemps pour exprimer la vie par tous les pores de la terre ? La mort n’est qu’apparence.
L’hiver marque la fin du cycle annuel. La terre est épuisée, il lui faut maintenant du repos. La tradition nous dit : «Le Ciel et la Terre ne communiquent plus.». La terre est livrée à elle-même et ses énergies travaillent en profondeur. Toute la nature s’endort à la surface du sol ; les manifestations de vie, à l’extérieur, sont réduites au minimum. L’hiver exprime la manifestation du yin maximum, caractérisé par les phénomènes d’intériorité et d’involution. La vie ne concerne plus l’extérieur mais l’intérieur. Il est donc temps de nous reposer, de restaurer nos forces.
Réf les cinq saisons de l’énergie, Isabelle Laading
Ne résistons pas aux mouvements naturels qui régissent le cosmos
L’hiver est silence, introversion, lenteur, immobilité apparente.
Il est temps d’entrer à l’intérieur de soi. Prendre le temps, se permettre l’inactivité. C’est une orientation délibérée vers le repos, les rythmes lents.
La saison hivernale nous invite au silence. La nature s’endort, la neige étouffe les sons, les oiseaux se taisent. Vient le temps du murmure, des anges qui passent, de l’écoute du silence intérieur.
Energie de la nuit et de la profondeur, accompagné d’un mouvement de l’extérieur vers l’intérieur. C’est un travail intense dans la profondeur.
Energie lunaire, énergie féminine. C’est la période favorable pour prendre conscience de la dimension féminine de notre être. L’énergie féminine en nous, dans son affinité profonde avec la vie, est à redécouvrir en complémentarité avec notre énergie masculine.
C’est l’eau, en lien avec la fonction «Rein-Vessie» et Svaddhistana, centre relié aux Sources de Vie
L’ambiance de l’hiver a le pouvoir de réveiller nos peurs refoulées. C’est le moment de les regarder en face. La peur est une invitation à l’action.
L’ambiance de l’hiver , c’est le passage de la lumière du jour vers la clarté de l’intériorité.
En amenant la lumière de la conscience dans les profondeurs, c’est l’énergie de la conscience qui va éveiller la capacité de choisir clairement d’autres chemins, des voies de réalisation.
«la vérité sourit» nous dit Sri Aurobindo
L’énergie d’hiver c’est :
Présence à soi-même
ralentir le rythme
Intériorisation
Présence aux manifestations de vie intérieure
vivre la fluidité de la vie
cultiver un état d’esprit fluide
retour vers l’essentiel, le coeur des choses
se relier au monde de la vibration sonore
Mot-clé :se relier à l’énergie de vie en soi.
Vivre l’ambiance d’hiver :
Ambiance des paysages
Blancheur et silence de la neige
immobilité apparente
Nuits les plus longues
Dans la nuit, appel à la lumière
Travail intense dans la profondeur
Dans les postures d’hiver, nous allons chercher à privilégier les postures d’équilibres, les fentes, les phrases ( fluidité ), les gestes conscients ralentis, les étirements, les gestes fluides.
Une attention particulière sera donnée au bassin et aux muscles du périnée. L’écoute respiratoire avec Expir profond / Inspir passif.
Le murmure.
C’est l’ « accès à la profondeur », la qualité d’intériorité. l’affinité avec l’eau. C’est Svaddhistana, centre relié aux Sources de Vie.
Favoriser les états de relaxation. La relaxation est un chemin d’intériorité et de profondeur par excellence. Elle demande une pratique, une prise en main personnelle.
Contenir et restaurer nos forces sera le gage d’énergies vives et de créativité au printemps.
Posture de l’enfant
En feuille pliée ( Balasana ), sentir la respiration dans le dos et faire circuler l’énergie avec le MRI ( mouvement du regard intérieur ou respiration de la vague ). Expire, la vague descend de la nuque jusqu’au coccyx et à l’inspire, la vague remonte du coccyx à la nuque. Amener la respiration dans les lombaires, d’abord en y mettant un peu de pression puis uniquement en étant présente dans cette zone.
Ensuite, laisser faire, laisser l’expire s’accomplir.
Posture d’intériorité et en même temps, posture de recharge en énergie. Se mettre à l’écoute, se relier à Svaddhistana, 2ème chakra, centre relié aux Sources de Vie.
Un temps de silence pour se mettre dans l’écoute.